mardi 31 juillet 2007

L’Evolutionnisme : Un Feuilleton de Canulars – 6ème Episode : L'homme de Piltdown : une mâchoire d'orang-outan et un crâne humain

En 1912, un docteur bien connu, et également paléoanthropologue amateur du nom de Charles Dawson affirma avoir trouvé un os de mâchoire et un fragment crânien dans une fosse à Piltdown, en Angleterre. Même si ledit os de mâchoire ressemblait plus à celui d'un singe, les dents et le crâne, en revanche, ressemblaient à ceux d'un homme. Ces spécimens ont été étiquetés "l'Homme de Piltdown".

En 1916, Dawson meurt. Mais il réservait une surprise posthume. Au début de 1917 Smith Woodward, conservateur du département d'histoire naturelle au British Museum, annonce en effet que Dawson avait découvert en 1915, à trois kilomètres de la carrière de Piltdown, deux nouveaux fragments de crâne humain et une dent de singe usée comme une dent humaine, soit exactement la même combinaison que la première fois.

Ce deuxième homme de Piltdown contribua à convaincre la majorité des savants américains et à semer le doute dans l'esprit de la plupart des Français. "Il était possible que les os d'un humain et ceux d'un singe aient abouti une fois dans une même sablière, mais la deuxième conjugaison, identique, d'une voûte crânienne et d'une mâchoire de singe prouvait à n'en pas douter que leur possesseur n'était qu'une seule et même créature, malgré l'incongruité anatomique apparente". L'homme de Piltdown, avec son crâne d'homme et sa mâchoire de singe faisait une entrée fracassante dans les traités de paléontologie.

Prétendument vielles de 500.000 ans, les restes de l’homme de Piltdown furent rapidement popularisés par les spécialistes anglais et ces parties ont été présentées dans divers musées comme une preuve irréfutable de l'évolution humaine. Pendant plus de 40 années, plusieurs articles scientifiques ont été rédigés sur "l'Homme de Piltdown", une multitude d'interprétations et de dessins ont été effectués, et le fossile a été présenté comme une très importante preuve de l'évolution humaine. Pas moins de 500 thèses de doctorat ont été rédigées sur ce sujet.

Alors qu'il visitait le British Museum en 1921, le célèbre paléoanthropologue américain Henry Fairfield Osborn a déclaré : « … On doit nous rappeler encore et encore que la nature regorge de paradoxes » et a proclamé l'homme de Piltdown comme « une découverte d'une importance transcendantale pour la préhistoire de l'homme ».

En 1949, Kenneth Oakley du département de paléontologie au sein du British Museum, a tenté d'utiliser le "test de fluorine", un nouveau test servant à déterminer la date de certains anciens fossiles. Un essai a été alors effectué sur "l'Homme de Piltdown". Le résultat était extraordinaire. Le test a révélé que l'os de la mâchoire ne contenait pas de fluorine, ce qui indique qu'il n'est resté enterré que pendant quelques années. Le crâne, qui ne contenait qu'une quantité réduite de fluorine, n'était vieux que de quelques milliers d'années.

On a déterminé également que les dents de la mâchoire appartenant à un orang-outan avait été usées de manière artificielle et que les outils "primitifs" découverts auprès des fossiles n'étaient en fait que de simples imitations aiguisées grâce à des instruments en acier. Dans l'analyse détaillée effectuée par Joseph Weiner, cette manipulation a été rendue publique en 1953.
Le crâne appartenait à un homme de 500 ans et l'os mandibulaire était celui d'un singe qui venait de décéder !!! Les dents avaient été ainsi arrangées et fixées sur la mâchoire et les surfaces molaires avaient été limées pour ressembler à celles d'un homme. Ensuite, toutes ces pièces avaient été oxydées à l'aide du dichromate de potassium pour leur conférer un aspect vieux. Or, les tâches ont fini par disparaître une fois trempées dans de l'acide.

Sir Wilfred Le Gros Clark, un des membres de l'équipe qui a dévoilé la supercherie, ne pouvait pas cacher sa surprise au vu de cette situation et a déclaré : « Les preuves d'une abrasion artificielle ont tout de suite sauté aux yeux. En effet, elles étaient tellement flagrantes que l'on peut se demander à juste titre pourquoi ne les avait-on pas découvertes plus tôt ? » Une fois la supercherie découverte, "l'Homme de Piltdown" a été prestement enlevé du British Museum où il avait été exposé pendant plus de 40 années.

Dur, sera-t-il cet été ?

Alors que la saison des festivités est célébrée en tambour battant en toute insouciance habituelle du citoyen Tunisien qui été accommodé en classe moyenne, deux informations majeures ont attiré mon attention :

- La saison des moissons s’est presque achevée est le produit de la collecte des principaux produits céréales blé dur et blé tendre a été médiocre.

Alors que nos besoins sont de l’ordre de 10 millions de quintaux de chaque variante, la moisson de cette année n’a donnée que 3,3 millions de quintaux en blé dur et 1,2 millions de quintaux en blé tendre.

L’appel d’offre d’achat international a été lancé et il faut s’attendre à une augmentation imminente de pain, farine et dérivés. (d’ailleurs, la farine vient d’augmenter de plus de 10%, il y a de cela environ 1 mois)

- D’autres part, il parait que la Municipalité de Tunis va hausser la taux appliqué à la Taxe Municipale de 2% à 8% !!!!!!!!!!!.
Cette taxe est calculée en fonction d’une valeur de référence du m2 du terrain bâtit et en fonction des services fournis : éclairage publique, collecte des ordures, chaussée piétonne …
Çad, si vous êtes en train de payer annuellement 100 DT, préparer vous pour débourser 400 DT.

Finalement, faites attention, ne dépensez pas toutes vos économies pendant cet été car il y’aurait bientôt la saison des soldes, suivies de la rentrée scolaire et du mois de Ramadan.
Enfin, les factures Eau, Electricité et Téléphone agrémentera le tout …. et joyeux été !.

lundi 30 juillet 2007

Euthanasie

Ma femme et moi étions assis dans le Salon la nuit dernière, discutant des choses de la vie.
Nous parlions de l'idée de vivre ou mourir.

Je lui dis : "Ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d'une machine et de liquides. Si tu me vois dans cet état, débranche tous les éléments qui me maintiennent en vie".

Sur ce, elle s'est levée, a débranché tous les câbles du PC et m'a enlevé mon café.

Ceci est une Blague pour ceux qui m'auraient cru.

Barbarie des Américains ou Inconscience des Civils Afghans

C’est avec une insouciance totale que les Américains bombardent les villages Civils Afghans pour traquer les Talibans.

Quoi que cet acte est condamnable mais la responsabilité est entièrement portée par ces civils musulmans Afghans qui se sont installés hors des zones contrôlées par le gouvernement factice de Karazai.

Les bêtises de ces civils Afghans sont multiples. Ils se sont installés dans la compagne, loin des grandes villes, ils ne combattent pas les Talibans, pire, ils sont accusés par les Américains de soutenir la Révolte quoi qu’ils subissent les exactions de ces mêmes Talibans.

Leur inconscience est totale, ces civils se permettent de faire des fêtes et de se rencontrer en famille et ainsi paraître comme un meeting Taliban aux yeux des Cowboys.
Alertés par cet agroupement, la machine de Guerre américaine se met en marche et avec sa précision légendaire envoi, missiles et bombes et sème la mort sans distinction.

Ainsi, la Barbarie Américaine, conjuguée avec l’inconscience de ces civils Afghans dont la vie ne coute même pas la parole d’une excuse, nous laisse froid et indifférent tant que ce n’est pas un chrétien qui est victime.

PS1 : Vous pouvez changer le mot Afghan, par le mot Irakien et l'histoire reste encore valable.
PS2 : Vous pouvez changer le mot Afghan, par le mot Palestinien et le mot Américain par Israélien et l'histoire reste encore valable.

L’Evolutionnisme : Un Feuilleton de Canulars – 5ème Episode : Ota Benga - Le Drame d’un Africain

Après avoir ouvert le chemin avec son livre "The Descent of Man" (La filiation de l'homme) prétendant que l'homme a évolué à partir de créatures ressemblant au singe, Darwin a commencé à chercher des fossiles pour prouver cette affirmation.
Cependant, certains évolutionnistes croyaient que des créatures "mi-homme/mi-singe" pouvaient être trouvées non seulement dans les archives fossiles mais également vivantes dans divers endroits du monde.

Au tout début du 20ème siècle, la quête des "liens transitionnels vivants" a entraîné des incidents malheureux, parmi lesquels l'histoire d'un pygmée du nom d'Ota Benga.

Ota Benga fut capturé en 1904 par un chercheur évolutionniste au Congo. Dans la langue pygmée, ce nom voulait dire "ami". Il avait une femme et deux enfants. Enchaîné puis enfermé dans une cage, Ota Benga fut emmené aux Etats-Unis où les chercheurs évolutionnistes le présentèrent au public à l'exposition universelle de St Louis avec d'autres espèces de singes. Ota Benga fut présenté comme "le lien transitionnel le plus proche de l'homme".

Deux ans plus tard, ils l'emmenèrent au zoo du Bronx à New York pour l'exposer en compagnie de quelques chimpanzés, d'un gorille appelé Dinah et d'un orang-outan appelé Dohung, sous l'appellation des "vieux ancêtres de l'homme".

Le directeur évolutionniste du zoo, Dr William T. Hornaday, prononçait des discours pour dire à quel point il était fier d'accueillir cette "forme transitionnelle" dans son zoo et traitait Ota Benga exactement comme n'importe quel animal. Incapable de supporter ce traitement, Ota Benga finit par se suicider.

samedi 28 juillet 2007

Les Blogueurs Hypocrites

Etkalem
Marhbé, À travers ce petit espace que je dédie à mon pays la Tunisie mais surtout aux tunisiens fiers et libres . C'est un espace de libre parole, de tolérance où je me permettrais de vous faire part de mes points de vue, de mes expériences, de mes opinions ,de mes rêves et aussi de mes espoirs . Vous êtes ici chez vous.

un peu plus bas dans le même Blog:

Ils ne sont pas les bienvenus


Quelle Libre Parole, quelle Tolérance et quelle Hospitalité !!!! .....

La CNAM : l'Annonce Des Difficultés

" Cette réforme est entrée en application au début du mois. Comment les choses se passent-elles sur le terrain? La transition, pour le moment, est surtout marquée par des difficultés techniques. Mais aussi par les dysfonctionnements d’un régime ancien en fin de carrière.

C’est depuis le 1er juillet que le nouveau régime de la couverture sociale est bel et bien lancé. ...Toujours est-il que, comme tout démarrage, un système réaménagé à l’échelle nationale requiert du temps pour huiler son circuit.

La Caisse nationale d’assurance maladie, la Cnam, s’attelle depuis un moment déjà à implanter la logistique nécessaire dans ses guichets par les équipements hérités des deux anciennes caisses, la Cnrps et la Cnss. Or, si l’on peut se passer dans les centres d’accueil du distributeur de tickets, le dispatching numérique pouvant se faire à l’aide d’un concours humain, il est en revanche impensable d’organiser la procédure longue et fractionnée de remboursement, de référencer les formulaires et de revoir l’historique de chaque affilié, sans les ordinateurs, administrativement indispensables. Durant cette passation, l’installation du matériel, les migrations des programmes informatiques et leur uniformisation prennent plus de temps que prévu en cette période de séance unique et de congés, où le rythme de travail se trouve forcément ralenti. "

" Mohamed Ali K., la cinquantaine avancée, diabétique, fait part de sa lassitude après les allées et venues répétées pour fournir des papiers nécessaires à son dossier: «On m’a demandé d’aller encore une fois chez le médecin pour lui soumettre un autre formulaire à remplir. Je pensais m’être débarrassé des visites et des attentes chez le médecin»"

" Belgacem Ben A. n’est pas dans une meilleure disposition. Lui aussi grogne contre les ajournements sans fin : «Depuis le 16 mai, j’attends un bon pour me procurer une paire de lunettes. J’ai déposé un dossier complet: on m’a demandé de revenir après un mois, le 16 juin. Je suis revenu. On m’a demandé alors de revenir après 10 jours… En tout, cela va faire bientôt trois mois d’attente pour récupérer le bon et acquérir la paire de lunettes nécessaire à ma femme»."

" Mme D. déclare qu’elle s’adresse pour la première fois aux services de la couverture sociale: «J’étais affiliée à la CNSS dont je n’ai jamais bénéficié. Par choix, je me suis toujours adressée aux privés alors qu’on versait, mon mari et moi, la cotisation à la caisse. Maintenant, avec l’infarctus de mon mari et les 5 mille dinars déboursés pour son opération, mais aussi mon diabète à moi qui atteint les 4 g, je viens ici pour réclamer six feuilles de maladie pour nous constituer un dossier chacun. Or on me les refuse sous prétexte que chaque malade a droit à trois formulaires uniquement"

Pour lire la suite http://www.lapresse.tn/index.php?opt=15&categ=3&news=53952


La question qui se pose, pourquoi se pressent-on à mettre sur place un système d'assurance maladie dont la structure logistique prendra un temps fou pour fonctionner correctement ???.

N'aurait-il pas été mieux de mettre en place la structure logistique ensuite démarrer le système pour lui donner le maximum de chance de réussite et SURTOUT éviter au pauvre citoyen un calvaire inutile ???

vendredi 27 juillet 2007

L’Evolutionnisme : Un Feuilleton de Canulars – 4ème Episode : Le Cœlacanthe, un Fossile Vivant

Le scénario évolutionniste va encore plus loin et affirme que les poissons, qui ont évolué à partir d'invertébrés se sont transformés ensuite en amphibiens. Jusqu'à seulement 50 années auparavant, les évolutionnistes pensaient qu'une telle créature avait bel et bien existé.

Ce poisson, le cœlacanthe, dont l'âge a été estimé à 410 millions d'années, a été présenté comme une forme transitionnelle dotée d'un poumon primitif, un cerveau développé, de systèmes digestif et circulatoire prêt à fonctionner sur terre, et même un mécanisme primitif de marche. Ces interprétations anatomiques ont été acceptées comme des preuves par les scientifiques jusqu'à la fin des années 1930. Le cœlacanthe a été présenté comme une véritable forme transitionnelle prouvant la transition évolutive du milieu marin au milieu terrestre.

Cependant, le 22 décembre 1938, une découverte intéressante a eu lieu dans l'océan indien. Un membre vivant de la famille des cœlacanthes présenté auparavant comme forme transitionnelle éteinte depuis soixante millions d'années, a été capturé. La découverte d'un spécimen "vivant" du cœlacanthe a sûrement choqué les évolutionnistes, comme s’ils venaient de rencontrer un dinosaure dans la rue.

Pendant les années qui suivirent, 200 cœlacanthes ont été péchés à plusieurs reprises dans différents coins du monde. Les cœlacanthes vivants ont révélé jusqu'où les évolutionnistes peuvent aller dans l'imagination de leurs scénarios. Car, contrairement à ce qui a été dit, les cœlacanthes n'avaient ni poumon primitif ni un grand cerveau.

L'organe que les chercheurs évolutionnistes décrivaient comme un poumon primitif n'était en fin de compte qu'une poche lipidique. De plus, le cœlacanthe, présenté comme un "reptile candidat au passage du milieu marin au milieu terrestre", était en réalité un poisson qui vivait dans les profondeurs des océans, et qui n'approchait jamais la surface de plus de 180 mètres.

L’Evolutionnisme : Un Feuilleton de Canulars – 3ème Episode : Le Mélanisme Industriel

En 1986, Douglas Futuyma publia un livre intitulé "The Biology of Evolution" (La biologie de l'évolution). Ce livre est considéré comme l'une des sources expliquant de manière très explicite la théorie de l'évolution par la sélection naturelle. L'un de ses exemples les plus connus à ce sujet est la couleur des phalènes, qui était plus sombre durant la révolution industrielle en Angleterre. Il est possible de trouver l'histoire du mélanisme industriel dans presque tous les ouvrages de la biologie évolutionniste et pas seulement dans celui de Futuyma.

L'histoire est basée sur une série d'expériences conduites par le physicien et biologiste britannique, Bernard Kettlewell durant les années 50 et peut être résumée ainsi :
Vers le début de la révolution industrielle en Angleterre, la couleur de l'écorce des arbres dans les environs de Manchester était plutôt claire. Ainsi, les phalènes de couleur plus sombre (mélanique) qui se posaient sur ces arbres pouvaient êtres facilement repérées par les oiseaux qui s'en nourrissaient et par conséquent avaient peu de chance de survivre. Cinquante années plus tard, dans les régions boisées où la pollution a tué les lichens, les écorces des arbres avaient noirci et à ce moment-là les phalènes dont la couleur était plus claire devenaient la cible idéale. Ainsi, la proportion de phalènes à couleur claire par rapport aux phalènes à couleur sombre s'est réduite. Les évolutionnistes pensent que ce phénomène est une preuve irréfutable de leur théorie.

Cependant, il faut bien préciser que cette situation ne saurait être utilisée en tant que preuve de la théorie de l'évolution puisqu'aucune forme nouvelle ne s'est produite, qui n'existait pas avant. Les phalènes de couleur sombre existaient bien avant la révolution industrielle !!!!. Ce qui a changé en revanche ce sont les proportions des variétés existantes dans la population des phalènes. En effet, les phalènes n'ont pas acquis un nouveau trait ou un nouvel organe, qui aurait causé l'apparition d'une nouvelle "espèce".

Toutefois, il existe un aspect plus intéressant à cette histoire : l'expérience de Bernard Kettlewell, qui est connue en tant que "preuve expérimentale" de l'histoire, est au fait un scandale scientifique. Certains éléments principaux de ce scandale sont :

* Plusieurs expériences effectuées après Kettlewell ont révélé que seule une partie de ces phalènes se plaçait sur les troncs d'arbres et que toutes les autres préféraient se mettre sous les petites branches horizontales.
Depuis 1980, il était évident que les phalènes sombres ne se mettent généralement pas sur les arbres. En 25 ans de travail sur le terrain, plusieurs scientifiques ont conclu que « dans l'expérience de Kettlewell, les phalènes ont été forcées à réagir de manière atypique. Aussi, les résultats des tests ne pouvaient-ils pas être acceptés comme scientifiques ».

* Les scientifiques qui ont testé les conclusions de Kettlewell ont trouvé des choses encore plus intéressantes.
Alors que le nombre de phalènes claires devrait être plus important dans les régions moins polluées d'Angleterre, les phalènes sombres là-bas étaient quatre fois plus nombreuses que les claires. Cela revient à dire qu'il n'existe pas de corrélation entre la population des phalènes et les troncs d'arbres comme le soutient Kettlewell et le répètent presque toutes les sources évolutionnistes.

* Au fur et à mesure que la recherche s'approfondissait, le scandale changeait de dimension : "les phalènes sur les troncs d'arbres" photographiées par Kettlewell, étaient en réalité des phalènes mortes. Kettlewel avait utilisé des spécimens morts collés ou accrochés à des troncs d'arbres puis photographiés dessus. En vérité, il y avait peu de chances de prendre une telle photo car les phalènes n'étaient pas sur les troncs mais plutôt entre les feuilles.

Kettelwel a décédé suite à une overdose et sa mort a été considérée comme un suicide.

Barbarie des Talibans ou Inconscience des Sud-Coréens

C’est avec un sang froid et après la fin de leur dernier ultimatum que les Talibans ont exécuté l’otage Sud-Coréen Bae Hyung-kyu, un pasteur chrétien qui était le responsable des 22 autres volontaires évangélistes enlevés par les rebelles islamistes en Afghanistan.

Quoi que cet acte est condamnable mais la responsabilité est entièrement portée par ce pasteur évangéliste qui a entrainé avec lui 22 autres personnes dans une aventure périlleuses dans une zones des plus dangereuses de ce monde.

Les bêtises de cette personne ont été multiples. En dépit de recommandations contraires du gouvernement sud-coréen, préoccupé par les questions de sécurité, Bae s'était rendu en Afghanistan sans même que le gouvernement Afghan soit au courant.

Ils ont loué un bus et ils sont partis de Kaboul vers une autre ville sur un axe routier des plus dangereux. Pire, ils se sont arrêtés en cours de route pour se reposer et sans aucune conscience, ils se sont même éloignés de leur bus pour se dégourdir les jambes.

Alertés par leur présence, les Talibans les ont accueillis avec la plus grande facilité du monde. Ils sont même accusés par ces derniers d’avoir une mission d’évangélisation an Afghanistan.

J’espère que les 22 autres soient libérés sans effusion du sang.

L’Evolutionnisme : Un Feuilleton de Canulars – 2nd Episode : L’Archæoptéryx, premier des oiseaux et chaînon manquant.

L’archæoptéryx a été utilisé pendant des années comme preuve de la transition du reptile vers l’oiseau. C'est un fameux exemple avec lequel les évolutionnistes ont tenté de tromper les hommes.

Il fut prétendu que l’archæoptéryx, un oiseau datant de 150 millions d’années, avait des caractéristiques reptiliennes et était par conséquent un "lien manquant" entre les reptiles et les oiseaux. Or, toutes les découvertes scientifiques récentes montrent que l’archæoptéryx était un oiseau volant et infirment donc les allégations. De plus, les dinosaures théropodes, les prétendus ancêtres reptiliens des oiseaux, s’avèrent être beaucoup plus jeunes que l’archæoptéryx. C’est là un autre fait que les évolutionnistes essaient d’ignorer.

Les évolutionnistes soutiennent la théorie que des dinosaures de petites tailles, tels que les vélociraptors ou les droméosaures ont évolué en développant des ailes puis en volant. Ainsi, l'archæoptéryx est supposé être une forme transitionnelle issue de ses ancêtres dinosaures, et avoir commencé à voler pour la première fois.
Or, les dernières études en date sur le fossile archæoptéryx indiquent que cette créature n'est absolument pas une forme transitionnelle, mais plutôt une espèce d'oiseau éteinte présentant des différences insignifiantes avec les oiseaux d'aujourd'hui.

La thèse qui défend l'idée que l'archæoptéryx était un "oiseau à moitié" ne pouvant voler correctement était très populaire dans les cercles évolutionnistes jusqu'à très récemment. L'absence d'un sternum, c'est-à-dire l'os du thorax, chez cet animal, a été longtemps considérée comme la preuve la plus importante de l'incapacité de cet oiseau à voler correctement. (Le sternum est un os situé sous le thorax auquel sont rattachés les muscles nécessaires au vol. De nos jours, nous constatons l'existence de cet os chez tous les oiseaux volants ou non, voire chez les chauves-souris, (mammifères volants appartenant à une famille distincte)

Toutefois, le septième fossile d'archæoptéryx trouvé en 1992 a suscité une surprise générale chez les évolutionnistes. Car, cet os thoracique existait vraiment alors que les évolutionnistes ont longtemps cru qu'il faisait défaut. Ce fossile a été décrit dans le magazine Nature en ces termes : « Le septième spécimen récemment découvert de l'archæoptéryx préserve un sternum rectangulaire partiel, dont on a longtemps soupçonné l'existence sans pour autant en avoir la preuve. Cette découverte est un témoignage de ses solides muscles de vol. ».
Cette découverte réfute l'idée répandue que l'archæoptéryx était à moitié oiseau et qu'il ne pouvait pas voler correctement.

Par ailleurs, la structure des plumes de cet oiseau est l'une des preuves les plus irréfutables que l'archæoptéryx était bel et bien un oiseau volant. Cette structure asymétrique des plumes ne peut être distinguée de celle des oiseaux d'aujourd'hui et par conséquent l'archæoptéryx pouvait en effet parfaitement voler.
L'éminent paléontologue Carl O. Dunbar l'explique : « Grâce à ses plumes, [l'archæoptéryx] peut clairement être classé comme un oiseau. »

Cette structure de plumes a également révélé que l'archæoptéryx avait un métabolisme à sang chaud. Comme nous le savons, les dinosaures et les reptiles ont le sang froid ; par conséquent, leur température corporelle fluctue avec la température extérieure, au lieu d'être régulée homéostatiquement.
L'une des fonctions importantes des plumes chez l'oiseau consiste à maintenir une température constante de son corps. Le fait que l'on sache que l'archæoptéryx avait des plumes prouve qu'il s'agit d'un oiseau réel à sang chaud qui avait besoin de réguler sa propre température contrairement aux dinosaures.

Alors que les évolutionnistes ont proclamé pendant des décennies que l'archæoptéryx est la plus grande preuve de leur scénario concernant l'évolution des oiseaux, des fossiles récemment trouvés réfutent ce scénario sur d'autres aspects.

Lianhai Hou et Zhonghe Zhou, deux paléontologues de l'Institut Chinois de Paléontologie des Vertébrés, ont découvert un nouveau fossile d'oiseau en 1995 qu'ils ont appelé Confuciusornis. Cet oiseau est presque aussi âgé que l'archæoptéryx (environ 140 millions d'années), mais celui-ci n'a pas de dents. De plus, son bec et ses plumes présentent les mêmes caractéristiques que celles que l'on trouve chez les oiseaux de notre époque.

Confuciusornis est doté du même squelette que les oiseaux actuels, avec en plus des serres sur ses ailes exactement comme l'archæoptéryx. Il présente un autre trait propre aux oiseaux : le "pygostyle" qui soutient les plumes de la queue, était aussi présent chez cette espèce d'oiseau. Bref, cet oiseau du même âge que l'archæoptéryx (considéré le plus vieil ancêtre de tous les oiseaux et accepté comme étant un semi-reptile), ressemblait davantage à un oiseau actuel.
Ce fossile a réfuté toutes les thèses des évolutionnistes qui prétendent que l'archæoptéryx est l'ancêtre primitif de tous les oiseaux.

Un autre fossile, déterré en Chine, a causé une confusion encore plus grande. En novembre 1996, l'existence d'un oiseau vieux de 130 millions d'années, nommé Liaoningornis a été annoncée par L. Hou, L. D. Martin et Alan Feduccia dans la revue Science. Le Liaoningornis avait un os thoracique auquel étaient rattachés les muscles nécessaires au vol, à l'instar des oiseaux actuels. Cet oiseau ne se distinguait en rien des oiseaux contemporains. Sa seule différence était les dents qu'il avait dans la bouche. Cela a démontré que les oiseaux dotés de dents n'avaient pas de structure primitive comme le prétendent les évolutionnistes. Ceci a été publié dans un article paru dans Discover "D'où viennent les oiseaux ? Ce fossile suggère qu'ils ne descendent pas des dinosaures."

Un autre fossile réfutant les allégations des évolutionnistes à l'égard de l'archæoptéryx est l'Eoalulavis. La structure des ailes de l'Eoalulavis, que l'on dit plus jeune que l'archæoptéryx de quelques 25 à 30 millions d'années, a été également observée chez les oiseaux actuels volant lentement. Ceci a prouvé que 120 millions d'années auparavant, il existait des oiseaux volant dans les cieux identiques à plusieurs niveaux aux oiseaux contemporains.

Ces faits indiquent assurément une fois de plus que ni l'archæoptéryx ni d'autres oiseaux prédécesseurs similaires n'étaient en fait des formes transitionnelles. Les fossiles n'indiquent pas que des espèces différentes ont évolué les unes à partir des autres. Au contraire, les archives fossiles prouvent que les oiseaux d'aujourd'hui ainsi que d'autres plus archaïques tels que l'archæoptéryx ont en fait vécu ensemble à la même époque. Cela dit, certains d'entre eux comme l'archæoptéryx et le Confuciusornis se sont éteints et seule une partie des espèces préexistantes a pu survivre jusqu'à nos jours.

En résumé, les différentes caractéristiques de l'archæoptéryx indiquent que cette créature n'est pas une forme transitionnelle. L'anatomie générale de l'archæoptéryx implique la stagnation et non l'évolution. Le paléontologue Robert Carroll a dû l'admettre : « La géométrie des plumes de vol de l'archæoptéryx est identique à celle des oiseaux volants actuels, alors que les oiseaux non-volants ont des plumes asymétriques. La façon dont sont arrangées les plumes sur l'aile suit le même modèle que chez les oiseaux actuels… Selon Van Tyne et Berger, la taille et la forme relatives de l'aile de l'archæoptéryx sont similaires à celles des oiseaux évoluant dans des ouvertures restreintes de végétation, tels que les oiseaux gallinacés, les colombes, les bécasses, les piverts, et la plupart des oiseaux passerins… Les plumes de vol sont en stagnation depuis au moins 150 millions d'années… »

D'autre part, le "paradoxe temporel" est l'un des faits assenant le coup fatal aux allégations évolutionnistes à propos de l'archæoptéryx. Dans son livre "Icons of Evolution", Jonathan Wells remarque que l'archæoptéryx est devenu une "icône" de la théorie de l'évolution, alors que les preuves montrent clairement que cette créature n'est pas l'ancêtre primitif des oiseaux. Selon Wells, il est possible de dire ceci car les dinosaures théropodes, les prétendus ancêtres de l'archæoptéryx, sont en fait plus jeunes que l'archæoptéryx : « Les reptiles à deux pattes qui courraient sur le sol et avaient d'autres caractéristiques qu'on aurait pu escompter chez l'ancêtre de l'archæoptéryx apparurent plus tard. »

En essayant de présenter l'archæoptéryx comme une forme transitionnelle, les évolutionnistes prétendent que les oiseaux descendent des dinosaures. Cependant, Alan Feduccia de l'Université de la Californie du Nord, l'un des plus célèbres ornithologues au monde, s'oppose à cette théorie en dépit du fait qu'il est lui-même un évolutionniste.
Il déclare à ce propos : « A vrai dire, j'étudie les crânes d'oiseaux depuis 25 ans et je ne vois pas la moindre similitude. Je n'en vois tout simplement aucune… Les origines théropodes des oiseaux resteront à mon sens, le grand point faible de la paléontologie du 20ème siècle."

Larry Martin, un spécialiste d'anciens oiseaux de l'Université du Kansas, s'oppose également à l'idée que les oiseaux descendent des dinosaures. A propos de cette contradiction, Martin déclare : « Pour être honnête, je dirai que si je devais soutenir l'idée que les oiseaux qui ont ces caractéristiques descendent des dinosaures, je serais très embarrassé à chaque fois que je devrais me lever pour en parler. ».

Pour résumer, le scénario de "l'évolution des oiseaux" imaginé uniquement sur la base de l'archæoptéryx, n'est que le résultat des préjugés des évolutionnistes et de leur tendance à prendre leurs désirs pour des réalités.

jeudi 26 juillet 2007

L’Evolutionnisme : Un Feuilleton de Canulars – 1er Episode : d’un Dent de Porc à L'homme du Nebraska

En 1922, Henry Fairfield Osborn, le directeur du Musée Américain d'Histoire Naturelle, déclara avoir trouvé une molaire fossile appartenant à la période du pliocène dans l'ouest du Nebraska à proximité de Snake Brook. Osborn déclara d’emblée que c’était le maillon manquant si ardemment recherché. Il affirma que l’homme à qui appartenait cette dent se trouvait au sommet de l’arbre de tous les ancêtres humains. William K. Gregory, conservateur du musée américain d’histoire naturelle et professeur de paléontologie à l’université de Columbia appela cette dent « la dent qui vaut un million de dollars ». Cette dent était supposée comporter les caractéristiques de l'homme et du singe.

Un sérieux débat scientifique s'en est suivi et l’hypothèse que la dent appartenait à un Pithecanthropus Erectus a été émise par certains alors que d'autres prétendaient que celle-ci était plus proche d'une dent humaine.

Ce fossile, qui a provoqué un débat intense, a été appelé "l'homme du Nebraska". Tout de suite après il a été "baptisé scientifiquement" sous le nom de "Hesperopithecus haroldcooki".
Plusieurs chercheurs connus ont accordé leur soutien à Osborn et sur la base d'une seule dent, des reconstitutions de la tête et du corps de l'homme du Nebraska ont été dessinées. De plus, l'homme du Nebraska a même été dessiné en compagnie de son épouse et ses enfants ; toute la famille dans un décor naturel.

Tous ces scénarios ont été développés à partir d'une seule dent. Les milieux évolutionnistes ont donné tant de crédit à cet "homme fantôme" que lorsqu'un chercheur, en l'occurrence William Bryan, s'est opposé à ces conclusions subjectives basées sur une seule et unique dent, il a subi des critiques acerbes.

En 1927, d'autres parties du squelette ont été également trouvées. Selon ces dernières pièces trouvées, la dent n'appartenait ni à un homme ni à un singe, mais à une espèce de sanglier américain, le "Prosthennops", éteinte depuis longtemps. Pour dénoncer cette erreur, William Gregory a intitulé son article paru dans le magazine Science : "Hespéropithécus : apparemment ni homme ni singe". Par la suite, tous les dessins du "Hesperopithecus haroldcooki" et de "sa famille" ont été rapidement retirés des ouvrages évolutionnistes.

L’Evolutionnisme : Un Feuilleton de Canulars

Mensonges et Canulars on été l’outil privilégié de plusieurs scientifiques afin de valider la théorie évolutionniste qui ressemble en tout point à celle de la Terre Plate.

De l'Homme de Piltdown à l'Homme du Nebraska en passant par le pauvre Ota Benga… ces scandales démontrent que les scientifiques évolutionnistes n'hésitent pas à recourir à des méthodes sans aucun rapport avec la science pour prouver leur théorie. Ceci dit, lorsqu'on examine aux dites preuves du mythe de "l'évolution de l'homme", nous nous trouvons face à une situation similaire : une histoire fictive et une kyrielle de volontaires prêts à tout pour la justifier et encore supportés par un tas de mass média.
Une fois le canular révélé, on l’étouffe par une nouvelle découverte ou une nouvelle dénomination et on maintient la foule prisonnière d’un imaginaire collectif sans aucun scrupule.

Les Mensonges et les Canulars sont innombrables mais je vais me restreindre aux plus importantes sans pour autant être dans le bon ordre de leur apparition. Le plus beau, c’est que la plupart de ces mystifications sont encore d’actualités soit sur le net soit pire encore dans les manuels scolaires.

Les évolutionnistes consolident leur théorie non pas à travers une réflexion scientifique mais malgré celle-ci. Nous sommes ici devant une théorie défendue de manière aveugle à n'importe quel prix soit en ignorant, soit en manipulant toutes ces découvertes qui jettent le doute sur la théorie pour soutenir le dessein des évolutionnistes.

Dans ses deux œuvres principales sur l'évolution, Darwin, en faisant ses inductions, emploie 800 fois des termes exprimant des conjectures, comme : « nous supposons », « si nous pouvons admettre », « peut-être », « il se peut », etc., c'est‑à‑dire qu'il édifie sa théorie sur 800 conjectures interdépendantes. En appliquant la règle de probabilité composée à cette théorie ainsi édifiée, et accordant très libéralement une même chance d'être justes à ses 800 conjectures, c'est‑à‑dire que sur une chance, il y a une demi‑chance qu'il avait raison dans chacun des cas, les chances que la théorie soit juste sont d'une contre le nombre de chances qu'elle est fausse. Soit 2 puissance 800, qui est un nombre représenté par 241 chiffres !!! Une théorie d'une si extrême improbabilité ne devrait jamais être enseignée comme science.

En résumé, la théorie de l'évolution n'est pas de la science, mais plutôt un dogme que l'on soutient en dépit de la science.

Passons à notre Feuilleton:
1er Episode : d’un Dent de Porc à L'homme du Nebraska
2nd Episode : L’Archæoptéryx, premier des oiseaux et chaînon manquant
3ème Episode : Le Mélanisme Industriel
4ème Episode : Le Cœlacanthe, un Fossile Vivant
5ème Episode : Ota Benga - Le Drame d’un Africain
6ème Episode : L'homme de Piltdown : une mâchoire d'orang-outan et un crâne humain
7ème Episode : Lucy, Femme ou Guenon ?
8ème Episode : L'expérience de Miller ou le Scientifique Tricheur
9ème Episode : L’Homme de Java
10ème Episode : L'histoire secrète des Homo sapiens

Re-plage

Vive la fête de la République, j’en ai vraiment bien profité pour repartir encore à la plage de Mrezga (Nabeul/Hammamet). Il faut dire que c’est une obligation familiale pour laquelle je me suis plié (ainsi que ma femme) avec vive joie.

Je suis parti suite à l’invitation de mon beau-frère à passer la journée ensemble et quoi qu’on venait de rentrer des vacances j’ai accepté.

Nous nous sommes installés à la plage aménagée avec parasols et chaises-longues ainsi que toilettes et douches INUTILISABLES. Mais heureusement et sauf notre bébé, personne n’a eu besoin de faire ses besoins. Les Pipis c’est convenu ça se fait dans la mer (j’ai rien dit, mais ne me dites pas que vous ne pissez pas dans la mer :)).

Ma sœur et ma mère ont tout préparé : bouffes, jus, thé, café, desserts (fruits) et même des glibettes (grain de tournesol qu’on donne habituellement comme aliments aux poulets et peut-être aussi au bétail), grains de citrouilles, pignon et pistaches salées.


Le plus important c'est qu’on nous a épargné de partir aux restos des plages qui sont vraiment dégueulasses.

Nous avons été rejoints plus tard par d’autres amis communs et Blablabla infini entre femmes et Zyeutisme des hommes pour les passantes.

A la réussite de nos enfants (garçons) cette année, mon premier beau-frère (j’en ai deux) a acheté pour son fils une canne à pêche, l’idée m’a plu, j’ai fait pareil, ainsi que mon second beau-frère. Je suis allé deux fois à la pèche avec mon fils est ça été NUL, on est rentré uniquement avec le reste des vers.

Hier, l’un des enfants, a apporté sa canne à pêche, il s’est éloigné des baigneurs et il a commencé à pêcher. Mine de rien, il nous a apporté trois beaux poissons de tailles respectables !!!.

Nous sommes rentrés crevés tout en pensant que dans les prochaines semaines, j’aurais à repartir pour un mariage familial à Sfax par la suite un autre mariage d’un ami à Ghomrassen, sans oublier des circoncisions à Sousse.


Ouf, je me sent fatigué d’avance.

mercredi 25 juillet 2007

Confessions d'Evolutionnistes

Dans cet article la parole sera donnée aux Evolutionnistes pour s’exprimer et renier par eux même le Mythe qu’ils ont créé.

Pendant 150 ans, une partie de l’Humanité s’est accroché à un canular scientifique qui s’est appelée au début la "Théorie Darwiniste" ou "l'évolution par la sélection naturelle" et qui s’est effondré suite à la découverte de la structure de la molécule d’ADN qui renferme l’information génétique dans les années 50.


Paradoxalement à sa théorie, Darwin croyait bien que la création revenait au Dieu subblime. On peut le constater dans son livre même "L'Origine des Espèces au Moyen de la Sélection Naturelle", dernier paragraphe : « Ainsi donc, à partir du combat de la nature, de la famine et de la mort, l'objectif le plus élevé que nous sommes capables de concevoir, à savoir la production d'animaux supérieurs, découle directement. Il y a de la grandeur dans cette vue de la vie, avec ses forces respectives, qui ont à l'origine reçu le souffle de vie du Créateur sous quelques formes ou sous une seule ; et que, tandis que cette planète va tournant, selon les lois établies de la gravité, à partir d'un commencement si simple, des formes incessantes les plus magnifiques et les plus merveilleuses ont évolué, et sont en cours d'évolution. »

Pour sauver la face, des Evolutionnistes ont donné une nouvelle identité à cette théorie et l’ont surnommée "Le Néo-darwinisme" ou "la théorie moderne de l'évolution synthétique" par le rajout du concept de MUTATION.

Cette théorie n’a jamais pu être validée par la science mais uniquement par un phénomène appelé HASARD, nom de Code que les Athées donnent à Dieu qu’ils refusent de reconnaître officiellement.
Cette chaîne de coïncidences à laquelle croient les évolutionnistes, semble si irrationnelle que cela laisse les observateurs extérieurs complètement abasourdis.

Un certain nombre de substances chimiques simples s’assemblent par HASARD pour former une protéine. Ensuite, d'autres COINCIDENCES mènent à l'émergence d'autres protéines. Celles-ci ensuite se combinent par un autre HASARD de manière organisée avec des ADN, ANR, des enzymes, des hormones etc …, c'est-à-dire des structures très complexes au sein de la cellule, émergent et s'assemblent de MANIERE FORTUITE. Suite à ces milliards de COINCIDENCES, la première cellule apparait. La capacité aveugle sans fin du HASARD ne s'arrête pourtant pas là, car après multiplication de ces cellules une autre grande COINCIDENCE organise ces cellules afin de produire le premier être vivant. Je ne me permets pas de vous rappeler que mathématiquement et scientifiquement parlant, la durée de la vie sur terre (quelques Milliards d’années) est insuffisante pour compiler cet être vivant à partir uniquement de son ADN.

Après 150 ans de recherches sur les fossiles, ces derniers ont montré que la faune et la flore actuelle ont été les mêmes depuis 1 Milliard d’années, aucune "Forme Transitionnelle" n’a été trouvée.

Selon la théorie de l'évolution, chaque espèce vivante provient d'un prédécesseur. Une espèce qui existait auparavant s'est transformée en une autre au cours d'un certain laps de temps. Toutes les espèces sont venues à l'existence de cette manière. Selon cette théorie, cette transformation serait faite progressivement pendant des millions d'années.

Si cela était le cas, de nombreuses espèces intermédiaires auraient dû vivre pendant une si longue période, pendant laquelle ces transformations avaient soi-disant lieu. Par exemple, quelques espèces mi-poisson/mi-reptile ayant acquis des traits de reptiles en plus de ceux des poissons qu'ils avaient déjà auraient dû exister. De plus, il aurait dû y avoir des hybrides reptile/oiseau qui auraient acquis des traits aviaires en plus des caractéristiques de reptiles. Les évolutionnistes qualifient ces créatures imaginaires, qu'ils croient avoir vécu dans le passé, de "formes transitionnelles".

Si de tels animaux avaient vraiment existé, leur nombre et leur variété se compteraient par millions voire par milliards. De plus, les restes de ces créatures devraient apparaître parmi les fossiles. Le nombre de ces formes transitionnelles devrait être supérieur à celui des espèces présentes et leurs restes devraient pouvoir être trouvés partout dans le monde.
Dans L'origine des espèces, Darwin accepte ce fait et explique : « Si ma théorie est vraie, un nombre illimité de variétés, qui serait le point commun entre toutes les espèces du même groupe, ont sûrement dû exister. Par conséquent, la preuve de leur existence peut seulement être trouvée parmi les fossiles. »

Darwin lui-même était conscient que ces formes transitionnelles n'existaient pas. Il espérait qu'elles seraient découvertes dans le futur. En dépit de son optimisme, Darwin s'est rendu compte que le plus gros point faible de sa théorie était le fait que les formes transitionnelles lui faisaient défaut. Aussi, a-t-il écrit dans son livre "l'Origine des Espèces", dans le chapitre consacré aux "Difficultés sur la théorie" :
"… Pourquoi, si les espèces descendent d'autres espèces à travers d'imperceptibles améliorations, ne trouve-t-on pas partout des formes transitionnelles ? Pourquoi, la nature ne baigne-t-elle pas dans la confusion au lieu d'avoir, comme tel est le cas, des espèces bien définies ? ...Cependant, étant donné que cette théorie nous indique l'existence certaine d'innombrables formes transitionnelles, pourquoi ne les trouve-t-on pas dans la croûte terrestre ? ... Pourquoi donc toutes les formations géologiques et toutes les strates ne regorgent-elles pas de ces liens intermédiaires ? La géologie ne révèle aucune trace de ces chaines organiques imperceptiblement améliorées. Et c'est, peut-être la plus évidente et la plus sérieuse des objections que l'on puisse faire à ma théorie ? ».

La seule explication que Darwin pouvait apporter pour faire face à cette objection était l'argument que l'ensemble des fossiles découverts jusqu'alors n'étaient pas adéquats. Il affirmait ainsi que si l'on étudiait cet ensemble de plus près, on trouverait les liens manquants. Ce lien n’a jamais été trouvé et fort probablement, il ne le sera pas dans le futur.

Etant tout à fait conscient que les revendications du Néo-darwinisme sont tombées dans l’eau par les archives fossiles, Les Evolutionnistes lancent un nouveau coup médiatique et partent vers un changement ou évolution de la dénomination, on parle maintenant de "l'équilibre ponctué" au lieu de l'évolution lente et progressive.
Ce modèle soutient que les êtres vivants sont venus à l'existence non pas par une série de petits changements, comme Darwin l'a suggéré, mais par de grands et soudains importants changements et ainsi deviennent compatibles avec le registre des fossiles.

Seulement, ce modèle n'est au fond qu'une fantaisie et il suppose une possibilité d'évolution discontinue par sauts morphologiques (Saltationnisme) permettant le passage d'une organisation à une autre sans le passage par des formes, stades ou étapes intermédiaires. De tels sauts seraient déclenchés par des mutations impliquant des remaniements de grande ampleur du programme génétique et conduisant à l'apparition de "Monstres Prometteurs" à l'origine de nouvelles lignées.


Ainsi, le paléontologiste Shindewolf, prétend que le premier oiseau était sorti d'un œuf de reptile, en tant que "mutation importante" ; le résultat d'un énorme "accident" survenu dans la structure génétique.
Selon cette même théorie, des animaux terrestres auraient pu se transformer en baleines géantes après une transformation générale soudaine. Ces revendications, qui contredisent toutes les lois de la génétique, de la biophysique et de la biochimie sont aussi scientifiques que les comptes de fées des grenouilles qui se transforment en princes !!!!

Cette théorie rend plus complexe l’origine de la vie parce que cela rend de l’imaginaire impossible que les organismes formés de milliards de protéines aient subi une évolution "ponctuée" !!!.


En ce qui concerne la mutation et en dépit des laborieuses expériences dans les laboratoires, aucune mutation utile n'a eu lieu jusqu'à ce jour. Toutes les mutations ont été nuisibles. Le scientifique évolutionniste Warren Weaver a commenté le rapport établi par le Comité sur les Effets Génétiques des Radiations Atomiques qui a été mis en place pour mener des investigations sur les mutations qui ont pu avoir lieu à cause de l'usage des armes nucléaires durant la seconde guerre mondiale : « D'aucuns seraient étonnés d'entendre dire que la majorité des gènes mutants sont nuisibles. Car, les mutations sont une étape nécessaire dans le processus de l'évolution. Comment un effet positif - évolution à un stade supérieur de la vie - peut-il résulter de mutations dont la majorité est nuisible ? »

D’ailleurs, en ce qui concerne l’Homme, nombreuses maladies graves ont été identifiées comme résultant de modifications génétiques alors que les recherches n’ont jamais prouvé une amélioration quelconque de la race humaine (ou d’une personne particulière) due à une modification génétique. Toutes les mutations qui s'opèrent chez l'homme ont pour conséquences des déformations, des infirmités telles que le mongolisme, la trisomie, l'albinisme, le nanisme ou le cancer.

Chaque effort consacré à "provoquer une mutation utile" s'est soldé par un échec. Pendant des décennies, les évolutionnistes ont effectué plusieurs expériences pour produire des mutations dans les drosophiles puisque ces insectes se reproduisent très rapidement (reproduction d’une génération chaque onze jours) et que de ce fait les mutations devaient apparaître plus vite. Or, génération après génération, aucune mutation utile n'a été constatée. En pratique, les mutants meurent, sont stériles ou ont tendance à revenir à l'état sauvage.


Richard Monastersky, journaliste scientifique à Science News, l'un des fleurons des publications évolutionnistes, commente "l'explosion cambrienne" qui est un piège fatal pour les évolutionnistes : « Un demi milliard d'années auparavant, les formes remarquablement complexes des animaux que nous connaissons aujourd'hui sont apparues de manière soudaine. Ce moment, exactement au début de la période cambrienne de la terre, 550 millions d'années auparavant, marque l'explosion évolutionniste qui remplit les mers des premières créatures complexes de ce monde…. Les vastes phylums d'animaux actuels étaient déjà présents au tout début de la période cambrienne… et ils étaient aussi différents les uns des autres qu'ils le sont aujourd'hui. ».

Comment la terre a pu, tout d'un coup, regorger soudainement d'un si grand nombre d'espèces animales et comment ces types d'espèces différentes, sans ancêtres communs, ont pu apparaître demeure une question insoluble pour les évolutionnistes. Ainsi, sans préavis Dieu créa la Vie.


Le zoologiste de l'Université d'Oxford, Richard Dawkins, l'un des défenseurs les plus acharnés de la pensée évolutionniste dans le monde, commente cet état de fait qui réfute la base même de tous les arguments qu'il défendait : « Par exemple, les strates rocheuses cambriennes, sont les plus anciennes où l'on trouve la plupart des groupes invertébrés. Et l'on trouve plusieurs d'entre eux déjà dans un état avancé d'évolution, dès le premier instant de leur apparition. C'est comme s'ils étaient tout simplement plantés là, sans la moindre histoire évolutionniste ». N’est-ce pas une reconnaissance de la Création de la part d’un Athée Evolutionniste !!!!.


Douglas Futuyma, un biologiste évolutionniste de renommée, admet cette réalité : « Soit les organismes apparurent sur terre sous une forme complète soit non. Si la réponse est négative, ces organismes ont sûrement dû se développer, via un processus de modification, à partir d'espèces déjà existantes. S'ils sont apparus sous une forme complète, ils ont sûrement été créés par une intelligence omnipotente quelconque. ».
Il n’y a d’intelligence omnipotente que celle de Dieu !!!

Darwin lui-même reconnut cette éventualité lorsqu'il écrivit : « Si de nombreuses espèces, appartenant aux mêmes genres ou familles, sont réellement apparues tout d'un coup dans la vie, ce fait serait un coup fatal à la théorie de l'origine selon laquelle de lentes modifications surviennent à travers la sélection naturelle. »
L'époque cambrienne n'est ni plus ni moins que le "coup fatal" de Darwin.
C'est pour cette raison que le paléontologue évolutionniste suédois, Stefan Bengston, avoue l'absence de liens transitionnels tout en décrivant la période cambrienne. Il déclare : « Tout en étant déconcertant (et embarrassant) pour Darwin, cet événement nous étonne toujours. »


Roger Lewin l’un des plus éminents Evolutionnistes a été contraint de déclarer : "La transition vers le premier mammifère, qui a certainement eu lieu en un ou deux lignages tout au plus, reste une énigme."


George Gaylord Simpson, l'un des plus populaires spécialistes de l'évolution et pionniers du néo-darwinisme, a fait le commentaire suivant sur ce fait qui laisse perplexe les évolutionnistes : « L'événement le plus surprenant dans l'histoire de la vie est le changement du mésozoïque, l'âge des reptiles, à celui des mammifères. C'est comme si le rideau était descendu tout d'un coup sur la scène, où les rôles étaient occupés par les reptiles, particulièrement les dinosaures, en grand nombre et d'une diversité étonnante, et levé à nouveau sur la même scène. Or, cette fois-ci sans les dinosaures et avec d'autres reptiles en grand nombre avec une nouvelle distribution, en l'occurrence dans les rôles principaux, les mammifères dont on a à peine évoqué l'existence lors des actes précédents. »


L’évolutionniste Boyce Rensberger a déclaré que le scénario de l'évolution du cheval n'a pas de fondement dans les archives fossiles et qu'aucun processus évolutif prouvant l'évolution progressive des chevaux n'a été observé : « L'exemple populaire de l'évolution des chevaux, qui sous-entend un ordre graduel de changements à partir de créatures, à quatre orteils dont la taille ressemble à celle du renard et qui auraient vécu il y a 50 millions d'années de cela, aux chevaux de plus grande taille à orteil unique, a été prouvé erroné depuis longtemps.
Au lieu de parler d'un changement graduel, les fossiles de chaque espèce intermédiaire apparaissent très différents les uns des autres, demeurent inchangés et s'éteignent par la suite. On ne connaît aucune forme transitionnelle.
»


Le célèbre paléontologue Colin Patterson, directeur du Musée d'Histoire Naturelle d'Angleterre où étaient exposés les schémas de "l'évolution du cheval" a déclaré ce qui suit sur cette exposition qui était toujours ouverte au public au rez-de-chaussée du Musée : « Plusieurs histoires ont été tissées, certaines plus imaginatives que d'autres, à propos de la véritable nature de cette histoire (celle de la vie). L'exemple le plus répandu, qui est toujours exposé en bas, concerne l'évolution du cheval préparé probablement quelques cinquante années plus tôt. Cet exemple a été présenté comme la vérité absolue dans une série successive de manuels scolaires. Je pense que c'est lamentable, particulièrement lorsque les personnes qui proposent ce genre d'histoires sont probablement eux-mêmes conscients qu'il s'agit en partie de pure spéculation. »


L'immense fossé entre l'homme et le singe ne se limite pas uniquement à la bipédie. Plusieurs autres questions restent à ce jour sans réponses. Par exemple, la capacité cérébrale, la parole et ainsi de suite. A ce propos, la paléoanthropologue évolutionniste, Elaine Morgan, avoue ce qui suit : « Quatre des mystères les plus extraordinaires à propos des humains sont :
1) Pourquoi marchent-ils sur deux jambes ?
2) Pourquoi ont-ils perdu leurs fourrures ?
3) Pourquoi ont-ils développé des cerveaux aussi grands ?
4) Pourquoi ont-ils appris à parler ?

Les réponses orthodoxes à ces questions sont :
1) "Nous n'en savons toujours rien" ;
2) "Nous n'en savons toujours rien" ;
3) "Nous n'en savons toujours rien" ;
4) "Nous n'en savons toujours rien".

La liste des questions peut être largement plus longue sans pour autant que les réponses n'en deviennent moins monotones.
»


Lord Solly Zuckerman est l'un des scientifiques Evolutionnistes les plus célèbres et les plus respectés du Royaume Uni. Il a étudié pendant des années les archives fossiles et a conduit plusieurs recherches détaillées. Il a reçu le titre de Lord pour ses contributions à la science.

Les commentaires de Zuckerman sur la théorie de l'évolution ne peuvent pas être considérés comme des remarques ignorantes ou partiales. Toutefois, après des années de recherches menées sur les archives fossiles incluses dans le scénario de l'évolution humaine, il est arrivé à la conclusion que l'arbre généalogique est faux.
Zuckerman a également avancé le concept intéressant d'un "éventail scientifique". Il a constitué un éventail de disciplines partant de celles qu'il considère scientifiques à celles qu'il ne considère pas en tant que telles.
Selon cette gamme, les disciplines les plus "scientifiques" – sur la base de données concrètes – sont la chimie et la physique. Après, figurent la biologie et les sciences sociales. A la fin de la liste, parmi les disciplines "les moins scientifiques", on trouve les conceptions à "perception extrasensorielle" – des concepts comme la télépathie et le "sixième sens" – et enfin "l'évolution humaine".
Zukcerman explique ce raisonnement : « Nous divergeons donc du sentier de la vérité objective vers ceux des sciences biologiques présumées, comme la perception extrasensorielle ou l'interprétation de l'histoire fossile de l'homme, où tout est possible pour celui qui y croit – et où le fervent croyant arrive parfois à croire plusieurs choses contradictoires en même temps. »


Dans un article rédigé par Robert Locke, l'éditeur de Discovering Archeology, une revue importante qui traite des origines de l'homme, on peut lire : « La recherche des ancêtres humains donne plus de chaleur que de lumière ». Il cite les propos du paléoanthropologue évolutionniste célèbre, Tim White : « Nous sommes tous frustrés par toutes ces questions auxquelles nous n'arrivons pas à trouver de réponses. »

L'article de Locke traite de l'impasse de la théorie de l'évolution sur les origines de l'homme et l'absence de fondement de la propagande à ce sujet : « Il n'y a probablement aucun domaine scientifique aussi controversé que la recherche des origines de l'homme.
Les grands paléontologues ne s'accordent même pas sur les détails les plus élémentaires de l'arbre généalogique humain. A chaque fois que de nouvelles branches apparaissent, un grand tapage médiatique s'en suit pour que tout cela se flétrisse et disparaisse avec la découverte d'un nouveau fossile.
»


Ce même fait a été récemment accepté par l'éditeur de la célèbre revue Nature, Henry Gee. Dans son livre "In Search of Deep Time", publié en 1999, Gee souligne que toutes les preuves de l'évolution humaine "datant de 10 à 5 millions d'années – soit plusieurs milliers de générations de créatures vivantes – peuvent tenir dans une petite boite". Il conclut que les théories conventionnelles de l'origine et du développement des êtres humains sont "une invention complètement humaine créée après coup, façonnée pour concorder avec les préjugés humains" et ajoute : « Prendre une série de fossiles et prétendre que ces derniers représentent une lignée n'est pas une hypothèse scientifique vérifiable, mais plutôt une affirmation dont la validité n'est pas supérieure à celle d'un conte amusant, peut être même instructif, mais sûrement pas scientifique que l'on raconte le soir aux enfants avant d'aller dormir ».

Le Professeur Dr. Ali DEMIRSOY l’un des plus célèbres biologistes évolutionnistes turcs et en évoquant la probabilité de la formation aléatoire du cytochrome-C, l'une des enzymes les plus vitales pour la vie, avoue : « La probabilité de la formation d'une séquence de cytochrome-C équivaut à zéro. Car, si la vie nécessite une certaine séquence, l'on peut dire que celle-ci a une probabilité réalisable une fois dans l'univers entier. Sinon, certaines forces métaphysiques au-delà de notre définition ont dû intervenir dans sa formation. Accepter cette dernière hypothèse ne convient pas au but que la science s'est assignée. Par conséquent, nous devons explorer la première hypothèse ». Le scientifique trouve qu'il est "plus scientifique" d'accepter une possibilité dont le taux de probabilité "est égal à zéro" que d'envisager la création. Ainsi les Evolutionnistes se contredisent par eux-mêmes.

Pourquoi donc autant de scientifiques s'accrochent-ils à ce dogme ? Pourquoi essaient-ils depuis si longtemps de maintenir leur théorie en vie, même au prix de devoir admettre un nombre incalculable de conflits et d'ignorer les preuves qu'ils ont trouvées ?

La seule réponse c'est qu'ils craignent le fait qu'ils auront à affronter s'ils renoncent à la théorie de l'évolution. Ce fait est que Dieu a créé l'homme. Ce fait est inacceptable pour eux étant donné les présuppositions et la philosophie matérialiste à laquelle ils croient.

Ainsi, ils racontent des mensonges au monde et à eux-mêmes, en utilisant les médias avec qui ils collaborent. S'ils n'arrivent pas à trouver les fossiles adaptés, ils en "fabriquent" sous forme de dessins imaginaires ou de modèles fictifs afin de tenter de donner l'impression que des fossiles, prouvant la théorie de l'évolution, existent réellement.

Une partie des médias qui partage leurs opinions matérialistes tente également de tromper le public en instillant l'histoire de l'évolution dans l'inconscient des individus.
Quoi qu'ils fassent, la vérité est claire : l'homme n'est pas le résultat d'un processus d'évolution mais de la création divine.

Enfin, un petit tour dans les grottes de Lascaux en France nous fera découvrir l'Art Préhistorique et nous montrera que les les animaux dessinés par nos ancêtres, il y a de cela 17 000 - 15 000 ans, n'ont pas changés et ils sont toujours les mêmes.

Sources :
Le Net.

mardi 24 juillet 2007

Luxenberg : Houris, Raisins ou Tricherie

Luxenberg est un Pseudonyme d’un "Eminent Expert" en langues Arabe et Syro-araméenne ou Syriaque. Il est supposé être anonyme, suite aux conseils de ses "Amis Arabes" pour protéger sa vie d’éventuels attentats. Disons, que c’est une autre version de Salman Roshdi avec un excès de trouille.

Certains prétendent que c’est un Libanais et d’autres sources mentionnent que c’est un Syrien qui vit en Allemagne diplômé en construction mécanique. Il s'avère à la fin que son utilisation d'un pseudonyme était plutôt afin de cacher son manque de qualifications universitaires.

Depuis l'édition de sa thèse en livre "Lecture syro-araméenne du Coran. Contribution pour décoder la langue coranique" ("Die Syro-Aramäische Lesart des Koran : Ein Beitrag zur Entschlüsselung der Koransprache"), Luxenberg a été qualifié par la Presse comme étant la sommité dans le domaine philologique et linguistique.

Appeler Luxenberg "Expert Prééminent" en Syriaque est très ridicule parce que :
1) Il a seulement édité un seul livre, sa thèse,
2) Bien qu'il ait pu avoir enseigné le Syriaque à un certain niveau et à un certain point, il ne tient actuellement aucune position d'enseignement ou de recherches,
3) C'est tout à fait une insulte à plusieurs Professeurs Eminents (tel que Sebastian Brock) dont l’apport pour le Syriaque est inestimable.

Mais, pour une certaine Presse, n’importe qui essaye de nuire à l’Islam devient un superchampion, peu importe la crédibilité de ce qu’il présente.

Tout le travail d’interprétation du Coran par Luxenberg est basé sur une méthodologie dont le premier point essentiel est : « Approcher le verset si les interprétations des commentateurs musulmans ne sont pas retenues par LES TRADUCTEURS OCCIDENTAUX »

Donc, là ou les Traducteurs Occidentaux ne sont pas content du texte Coranique, il faudrait le changer et le modifier jusqu’à ce que ça leur plaise. Les Islamologues seront satisfaits et contents et les Islamophobes apaisés et dormiront enfin en paix

La nouvelle approche est simple, la langue franque de l’époque est le syro-araméen et le Coran devrait être riche en terminologie syro-araméenne.
Déjà en 1927 Alphonse Mingana, d’origine irakienne, avait calculé qu’environ 70 % des mots étrangers dans le Coran sont empruntés au syriaque.

Aujourd’hui Luxenberg nous fait une bonne remise et redescend jusqu’à la proportion de 30% de terminologie d’origine syriaque.
Pourquoi toute cette différence (70% à 30%), Luxenberg est-il plus savant que Mingana en Syriaque ?

De toute façon, nous ne sommes pas encore preneurs, nous attendons encore une meilleure offre à 10% ou à 5% syriaque, peut être moins encore.


Il a été mentionné maintes fois dans le Coran, que ce livre sacré a été écrit en Langue Arabe :

[12:2] Joseph (Yusuf) : « Nous l'avons fait descendre, un Coran en langue arabe, afin que vous raisonniez »

[13:37] Le tonnerre (Ar-Raad) : « Ainsi l'avons-Nous fait descendre (le Coran) [sous forme] de loi en arabe. Et si tu suis leurs passions après ce que tu as reçu comme savoir, il n'y aura pour toi, contre Dieu, ni allié ni protecteur »

[20:113] Ta-Ha : « C'est ainsi que nous l'avons fait descendre un Coran en langue arabe, et Nous y avons multiplié les menaces, afin qu'ils deviennent pieux ou qu'il les incite à s'exhorter ? »

[26:195] Les poètes (As-Shuaraa) : « en une langue arabe très claire »

[39:28] Les groupes (Az-Zumar) : « Un Coran [en langue] arabe, dénué de tortuosité, afin qu'ils soient pieux ! »

[41:3] Les versets détaillés (Fussilat) : « Un Livre dont les versets sont détaillés (et clairement exposés), un Coran [lecture] arabe pour des gens qui savent »

[42:7] La consultation (Achoura) : « Et c'est ainsi que Nous t'avons révélé un Coran arabe, afin tu avertisses la Mère des cités (la Mecque) et ses alentours et que tu avertisses du jour du rassemblement, - sur lequel il n'y a pas de doute - Un groupe au Paradis et un groupe dans la fournaise ardente »

[43:3] L'ornement (Azzukhruf) : « Nous en avons fait un Coran arabe afin que vous raisonniez »

[46:12] Al-Ahqaf : « Et avant lui, il y avait le Livre de Moïse, comme guide et comme miséricorde. Et ceci est [un livre] confirmateur, en langue arabe, pour avertir ceux qui font du tort et pour faire la bonne annonce aux bienfaisants »

Et en règle générale, tout livre sacré a été révélé dans la langue parlée du peuple auquel il est adressé ou à travers lesquels le message doit être révélé :
[14:4] Abraham (Ibrahim) : « Et Nous n'avons envoyé de Messager qu'avec la langue de son peuple, afin de les éclairer. Dieu égare qui Il veut et guide qui Il veut. Et, c'est Lui le tout Puissant, le Sage »


De même, le bon Dieu (ou l’auteur de ce livre sacré) nous a prévenu de pareilles manipulations linguistiques :
[16:103] Les abeilles (An-Nahl) : « Et Nous savons parfaitement qu'ils disent : "Ce n'est qu'un être humain qui lui enseigne (le Coran)". Or, la langue de celui auquel ils font allusion est étrangère [non arabe], et celle-ci est une langue arabe bien claire »
[41:44] Les versets détaillés (Fussilat) : « Si Nous en avions fait un Coran en une langue autre que l'arabe, ils auraient dit : "Pourquoi ses versets n'ont-ils pas été exposés clairement ? quoi ? Un [Coran] non-arabe et [un Messager] arabe ?" Dis : "pour ceux qui croient, il est une guidée et une guérison". Et quant à ceux qui ne croient pas, il est une surdité dans leurs oreilles et ils sont frappés aveuglement en ce qui le concerne; ceux- là sont appelés d'un endroit lointain »

On peut bien nous dire d’écarter le texte coranique comme justificatif et c’est bien normal pour ceux qui n’en croient pas, mais je serai intéressé d’avoir une réponse pour les deux questions suivantes de la part de Luxenberg ou de ses supporters :

- Pourquoi est-ce que le supposé écrivain de ce texte sacré, Mohamed (saws) insiste t-il à répéter 12 fois que son livre (le Coran) avait été écrit en langue Arabe ?
- Qu’est ce qui l’aurait empêché de dire « Ö croyants, je vous ai glissé quelques termes syriaques ou que 27,25% des mots sont syriaques ? » Ou encore, « cherchez la vérité du côté syriaque ? »

Le Prophète dans ses Hadiths aurait bien pu nous indiquer cette origine syro-araméenne afin de nous faciliter la tache, mais il semble qu'il a oublié de le faire, du moins 12 fois.


Nous savons tous, que généralement les mots (certains ou plusieurs) dans une langue quelconque dérivent des mots qui ont existé dans d'autres langues dans le passé ou même contemporaine. Par exemple, il y a des mots en français qui viennent de l’Anglais, de l’Allemand, du Grec, du Latin, de l’Arabe et ainsi de suite, mais quand nous lisons le français d’aujourd’hui nous les comprenons dans le sens ou ils sont employés dans le français actuel et non pas comment ils ont été employés dans le passé dans les autres langues. C'est le contexte actuel qui compte. De même, il faudrait comprendre les mots utilisés dans le Coran, dans le contexte Arabe de l’époque et non pas le contexte d’origine syriaque même s’il avait existé.

La mauvaise fois de Luxenberg se manifeste tout au long de sa thèse et son obsession de l’origine syro-araméenne de la langue Arabe, le poussent à considérer la primauté de cette origine même si le mot porte le même sens dans la langue arabe, ainsi le mot "Hour" حور signifie "blanc" dans les deux langues alors que Luxenberg le considère uniquement comme mot syriaque.

Selon Luxenberg, la parallèle entre le Syriaque et l’Arabes, dépasse l’élément linguistique pour se fondre dans l’origine théologique du Coran. Ainsi, le mot Syriaque "Qeryânâ" qui est à l’origine du mot Coran (selon Luxenberg) signifie "Récitation", "Lectionnaire", est ceci serait, selon l’imagination de Luxenberg, non seulement un emprunt linguistique, mais la preuve même que les lectionnaires Syriaques sont devenus, par la traduction en arabe, le livre saint de l’islam le Coran.

Il ne lui vient pas à l’esprit, que le premier mot de la révélation prophétique a été "Iqraa" إقرأ LIS. [96:1] L'adhérence (Al-Alaq) : « Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé » et que le mot Coran ou Quran est extrait du verbe "Qara’a" قرأ lire (réciter) qui signifie recueil de lecture (des sourates).

Le terme Coran a été même utilisé dans le livre saint comme un verbe conjugé (Qoranahou).

[75:17-18] La résurrection (Al-Qiyamah) : « Son rassemblement Nous incombent, ainsi que la façon de le réciter (Qoranahou) * Quand donc Nous le récitons, suis sa récitation (Qoranahou) »
) إِنَّ عَلَيْنَا جَمْعَهُ وَقُرْآنَهُ * فَإِذَا قَرَأْنَاهُ فَاتَّبِعْ قُرْآنَهُ ( سورة القيامة الآيات 18-17


Mais la supercherie la plus magnifique reste incontestablement celle de "Hour Ain", ces belles nymphes du Paradis dont Luxenberg veut nous en spolier :))).

Au fait, le livre de Luxenberg aurait pu passer incognito, sans intérêt et sans tapage médiatique, si ce dernier n’avait pas présenté une solution pour arrêter les opérations Kamikazes. S’était génial comme coup médiatique « Messieurs les Kamikazes, cessez vos Busheries, ce n’est pas des belles nymphes et des Houris qui vous attendent au Paradis mais du raisin blanc biologique, peut-être de qualité meilleure que celui qu’on trouve dans nos marchés ».


Je me permets de copier le paragraphe concerné à partir du Blog Angles de Vue :
« Le mot "houri" est donné par la Tradition comme étant l'équivalent de "très belles femmes vierges aux grands yeux", qui seraient la rétribution réservée dans l'au-delà aux bons croyants. Il n'en est rien soutient Luxenberg, qui entend rétablir sa dignité au texte coranique sur ce point. Le mot est syro-araméen et signifie dans cette langue "blanc", "pur". Et comme le Coran était dépourvu de signes diacritiques, la Tradition s'est trompée dans le chakl (les signes diacritiques ajoutés) de ce passage.

Il fallait lire "rawadjnahoum" au lieu de "zawadjnahoum", le point sur le "Ra" ayant été faussement ajouté. De plus, en arabo-araméen, le "bi" signifie "parmi" ou "sous" et les signes diacritiques du mot 'ayn sont aussi mal ajoutés : il fallait lire عنب à la place de عين. Le texte devient alors : روجناهم بحور عنب, alhouri 'inabine signifiant alors des raisins d'un blanc éclatant.

La traduction que propose Luxenberg est alors :
Nous les installerons confortablement sous des (raisins) blancs, (clairs) comme le cristal. ».

Et LA TRICHERIE EST FLAGRANTE, comme on va le voir :

Donc, en raison d’absence de points diacritiques, le mot عين (yeux) a été prix au lieu de عنب (raisin), et qu’il fallait lire le dernier caractère B ب au lieu de N ن en mettant correctement les points (selon Luxenberg).

Seulement Luxenberg ne s’est pas rendu compte que depuis l’apparition de l’écriture arabe, en fin de mot le B ب et le N ن arabes ne s’écrivent pas de la même façon (le N ن est courbé sous la ligne) et même en l’absence des points diacritiques on arrive facilement à distinguer le N ن.

Sans point diacritiques, il est évident que ce mot ne pourrait jamais être raisin عنب.

En fin de mot le N ن se courbe et descend sous la ligne et la preuve on peut la constater clairement sur les documents suivants :

1- Le MS. Arabe 328a provenant de la Bibliothèque Nationale de Paris et utilisé comme couverture du livre de Luxenberg même.


* On remarque clairement que les mots notés (1) et entourés en rouge contiennent la lettre N ن en fin de mot, s'écrivent bien sous la ligne. Aucune confusion avec la lettre B ب.

* On peut voir même le mot "Ain" عين (noté 3) et constater qu'il est impossible de l'assimiler à raisin عنب même en absence des points diacritiques.

* Le mot (noté 2) se termine avec un caractère qui peut être B ب, T ت, ou th ث et on voit bien qu'il s'écrit sur la ligne. la Différence est nette.


2- Le fameux manuscrit de Sanaa utilisé par le Dr Puin :


* Entouré en rouge et noté (1), un mot qui se termine avec N ن qu'on voit bien en dessous de la ligne et qu'il est impossible d'assimiler à un autre quelconque caractère.

* Un second mot a été entouré en rouge et qui peut être B ب, T ت, ou th ث.


3- Le fameux Coran d'Othman (1er Manuscrit du Coran).

* Ce texte coranique a été le premier a avoir été écrit sous le régne du Caliphe Othman (copie de Tashkent). Le caractère est de type Hidjazi.

* Le mot cerclé en rouge est une partie du mot بمؤمنين qui est منين et on voit encore clairement que la lettre N ن s'écrit sous la ligne et qu'il est encore impossible qu'elle soit assimilée à la lettre B ب même sans les points diacritiques.

Donc c’est clair, que Luxenberg est un tricheur et qu’exactement dans ce cas "Raisin" ne peut pas remplacer "Yeux" et que nos Houris aux Beaux Yeux resterons toujours promises aux martyrs :)

Dommage que des pseudo-scientifiques arrivent à berner des scientifiques et des spécialistes Occidentaux en Théologie et en Langue Arabe.
Cet aveuglement est simplement dû à l'acharnement contre l'islam qui les aveugle jusqu'à ignorer les règles les plus simples de la langue arabe.

[3:54] La famille d'Imran (Al-Imran) : " Et ils se mirent à comploter. Dieu a fait échouer leur complot. Et c'est Dieu qui sait le mieux leur machination ! "


Pour savoir plus sur Luxenberg et son interprétation syriaque du Coran:

Luxenberg et l'Origine de l'Ecriture Arabe (1ère Partie)
Luxenberg et l'Origine des Signes Diacritiques Arabes (2ème Partie)

Luxenberg et la Présence Araméenne en Arabie (3ème Partie)
Luxenberg, perdu entre l'Arabe et le Syriaque (4ème Partie)

lundi 23 juillet 2007

L'Entropie défie les Evolutionnistes

Mon ami Mani, s'est posé la question suivnate " J’aimerai bien lire (même sans comprendre) une démonstration solide et argumentée qui dise que l’apparition de la vie viole une loi physique quelconque. J’aimerai bien voir un prix Nobel déclarer devant les journalistes que l’entropie de l’univers a diminué à l’apparition de la vie sur terre, ce qui viole le second principe de la thermodynamique et laisse penser qu’il y a une intervention métaphysique pour provoquer un tel évènement."

Je voudrais bien l'aider et je lui propose la réponse à partir des évolutionnistes même.

La deuxième loi de la thermodynamique, qui est acceptée comme l'une des lois de base de la physique, affirme que dans des conditions normales tous les systèmes qui sont laissés à eux-mêmes ont tendance à se désorganiser, se disperser, se dégrader et se détruire. C'est la fin inéluctable que tous les êtres affronteront d'une manière ou d'une autre selon cette loi ; c'est un processus irréversible.

Ceci est quelque chose que nous avons tous observée. A titre d'exemple, si vous abandonnez une voiture au milieu du désert, vous ne vous attendez tout de même pas à la retrouver en meilleur état des années après. Bien au contraire, vous constaterez que les pneus sont dégonflés, que les fenêtres sont cassées, que le châssis est rouillé, et que son moteur est en piteux état. C'est le même processus qui s'applique encore plus rapidement pour les êtres vivants.

La deuxième loi de la thermodynamique est le moyen par lequel ce processus naturel est défini par des équations et des calculs physiques.
Cette célèbre loi de physique est également connue comme "la loi de l'entropie". L'entropie, c'est le degré d'organisation d'un système en physique. L'entropie d'un système s'accentue lorsque celui-ci avance à partir d'un état ordonné, organisé et planifié vers un autre plus désordonné, plus dispersé et non planifié. Le plus un système est désordonné, plus grande est son entropie. La loi de l'entropie affirme que l'univers entier s'oriente inévitablement vers un état plus désordonné, plus dispersé et non planifié.

La validité de la deuxième loi de thermodynamique, en l'occurrence de la loi d'entropie, est établie théoriquement et par expérience. Le mécanisme présenté par l'évolution est en contradiction totale avec cette loi. Les scientifiques les plus éminents de notre époque s'accordent à dire que la loi de l'entropie sera le paradigme principal durant la prochaine période de l'histoire.
Albert Einstein, l'un des plus grands scientifiques de notre temps, a déclaré que c'est "la première loi de toute notre science". Sir Arthur Eddington a également fait référence à cette loi comme "la loi métaphysique suprême de l'univers entier".(1)

La théorie de l'évolution est avancée en faisant fi de cette loi de physique élémentaire et vraie à l'échelle de l'univers. Le mécanisme proposé par l'évolution est en contradiction totale avec cette loi. Cette théorie prétend que des atomes et des molécules désordonnés, dispersés et sans vie se sont spontanément rassemblés dans le temps dans un certain ordre et plan pour constituer des molécules extrêmement complexes telles que les protéines, l'ADN et l'ARN.
Ensuite, ils ont donné naissance progressivement à des millions d'espèces
vivantes différentes dont la structure est encore plus complexes.

Selon la théorie de l'évolution, ce prétendu processus qui donne lieu à une structure mieux planifiée, plus ordonnée, plus complexe et mieux organisée à chaque stade s'est formée d'elle-même dans des conditions naturelles. La loi de l'entropie démontre de toute évidence que ce prétendu processus naturel est en contradiction totale avec les lois physiques.

Les scientifiques évolutionnistes sont également conscients de ce fait. J. H. Rush affirme (dans son livre "l’Aube de la Vie): « Au cours de son évolution complexe, la vie entre en contradiction remarquable avec la tendance exprimée par la deuxième loi de la thermodynamique.
Alors que la seconde loi exprime une progression irréversible vers l'entropie et le désordre, la vie se développe constamment vers des niveaux élevés d'ordre.
»(2)

Le scientifique évolutionniste Roger Lewin évoque l'impasse de l'évolution concernant la thermodynamique dans un article paru dans la revue Science : « Un problème que les biologistes ont affronté est la contradiction apparente de l'évolution avec la seconde loi de la thermodynamique. Les systèmes doivent se dégrader à travers le temps, donnant lieu à moins, pas davantage, d'ordre. »(3)

Un autre scientifique évolutionniste, George Stavropoulos évoque dans un article intitulé "The Frontiers and Limits of Science" paru dans l'American Scientist no. 65 (revue 1000% évolutionniste) l'impossibilité thermodynamique de la formation spontanée de la vie et l'impossibilité d'expliquer l'existence de mécanismes vivants complexes par des lois naturelles : " Cependant dans des conditions ordinaires, aucune molécule organique complexe ne peut se constituer spontanément. Elle se désintégrera plutôt conformément à la seconde loi. En effet, plus elle est complexe plus instable elle devient, assurant ainsi sa désintégration tôt ou tard. La photosynthèse et tous les processus de la vie, y compris la vie elle-même, en dépit d'un langage confus ou délibérément trompeur, ne peuvent pas encore être compris en termes de thermodynamique ou de toute autre science exacte. "(4).

Comme ça a été reconnu, la seconde loi de la thermodynamique constitue un obstacle insurmontable pour le scénario de l'évolution en termes de science et de logique. Incapables de fournir la moindre explication scientifique et consistante pour surmonter cet obstacle, les évolutionnistes ne peuvent surmonter celui-ci que dans leur imagination. A titre d'exemple, le célèbre évolutionniste Jeremy Rifkin déclare que l'évolution submerge cette loi physique avec un "pouvoir magique" : « La loi de l'entropie stipule que l'évolution dissipe toute l'énergie disponible pour la vie sur cette planète. Notre concept de l'évolution est exactement à l'opposé. Nous croyons que l'évolution crée d'une certaine manière et de façon magique une valeur et un ordre supérieurs sur terre. »(5)

Ces propos démontrent parfaitement que l'évolution est une croyance totalement dogmatique.

1. Jeremy Rifkin, Entropy : A New World View, New York, Viking Press, 1980, p. 6
2. J. H. Rush, The Dawn of Life, New York, Signet, 1962, p. 35
3. Roger Lewin, "A Downward Slope to Greater Diversity", Science, vol. 217, 24.9.1982, p. 1239
4. George P. Stravropoulos, "The Frontiers and Limits of Science", American Scientist, vol. 65, novembre-décembre 1977, p. 674
5. Jeremy Rifkin, Entropy : A New World View, p. 55


Source : www.harynyahia.com

Vacances Forcées !!!


Et vous, êtes-vous capable de vous débarrasser de votre dose quotidienne du Net ???

De Retour …

12 jours de vacances ont été suffisants pour se reposer et se consacrer à 100% à ma petite famille. J’avais peur de prendre du poids mais ça n’a pas été très catastrophique.

Ptit-déj, plage et piscine, repas de midi, sieste, balades et loisirs avec les enfants, diner et ensuite soirées avec les amis jusqu’à l’aube. Le programme était uniforme mais chaque jour était différent de l’autre avec sa dose de sourire et bonheur.
Maintenant il faut reprendre le rythme habituel du travail et se débarrasser de la sieste, qui m’empêchera de dormir tôt (pas plus que 1:00 h du matin).

Ces vacances m’ont permis aussi de faire de la bonne lecture, "Atlas de la Création" d’Adnan Oktar (téléchargeable sur son site) et aussi « Adam, histoire de la création entre mythe et réalité » et d’achever la lecture d’un bouquin que j’ai déjà entamé « Histoire du prophète Jacob ». Vous comprenez bien dans quel type de lecture je suis actuellement versé.

J’ai vu un seul film avec les enfants : "Les Misérables", un classique, qu’on ne se lassera jamais de voir et revoir.

Beaucoup d’événements se sont déroulés pendant ces 12 jours et j’ai une envie d’écrire sur chacun de sers sujets, pourvus que j’ai le temps de le faire : « Irak : la résurrection qui ne s’arrête pas », « Palestine : Le drame d’un peuple qui continue », « Turquie : la victoire des Islamistes modérés », « Tunisie : Chicha, vacances, inconscience et insouciance » etc ….

Chose exceptionnelle, je me suis connecté au Net, uniquement deux fois pour lire surtout du courrier et j’en ai profité pour commenter rapidement quelques notes parues sur des Blogs et comme la polémique sur certains sujet à continuée pendant mon absence, je reprendrai peut-être bien les mêmes sujets.

L’été n’est pas encore fini, on aura beaucoup de monde chez nous, de la famille, des amis français, mon frère qui revient de St Petersburg (il est déjà en vacances à Nabeul, sans passer dire le bonjour !!!) accompagné comme d’habitude d’une slave, chinoise ou même d’une noire. On en profitera surtout pour des weekends prolongés à Nabeul, Hammamet ou à des virées lointaines telles que Ras Injla, Sidi Mechreg (Cap Négro) ou Cap Serrat (peut-être bien quelqu’un de vous voudrais bien m’indiquer une nouvelle plage secrète).
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